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Community manager

Par Le 11/02/2015

Dans Actualités

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Astuces pour réussir comme community manager

Le community management est un « faux jumeau » du travail de référencement social. Alors, il est vrai que les deux exploitent les médias sociaux. Mais les concepts sont différents.

Le référencement social fait partie intégrante du référencement naturel, visant surtout à améliorer d’un site Internet. Le community management n’a pas forcément de lien avec le référencement SEO. Le community manager est présent sur les réseaux sociaux pour vendre sa marque, mais de manière subtile.

Le community manager ne fait pas de pub sur les communautés qu’il gère où dans lesquelles il s’incruste. Il favorise l’interactivité dans ces communautés, de manière à ce que sa marque soit au cœur des discussions.

Agir plus à l’extérieur qu’à l’intérieur de sa communauté

Le premier champ d’action du community manager est évidemment la communauté qu’il gère. Ça peut être une page facebook ou un cercle Google+ et bien d’autres. Mais le gros de son effort se concentre dans les autres communautés, dans les forums et les CGU, etc. Sur ces plateformes, il lance les débats et intègre les communautés pour interagir avec les membres, parler avec eux et discuter de la marque qu’il doit faire connaître.

Alors, la subtilité évoquée plus haut, ça consiste à ne pas faire de publicité du tout. Le community manager est un membre de communauté comme un autre. En tant que membre ou en tant que tchatcheur, il discute des nouveautés et des tendances, lance les débats et réagit activement sur les avis des autres… Bien évidemment, dans ses communautés, il se comporte comme modérateur. Mais l’essentiel, c’est que sa marque soit au cœur des discussions.

Les entreprises prennent conscience que la pub à sens unique, ça n’a jamais marché et ça ne marchera jamais. Elles veulent donc connaître l’appréciation de leurs cibles. Mais ça passe d’abord par la vulgarisation d’une marque ou d’un produit sur le web, en particulier sur les médias sociaux.

Grâce à des études françaises, on sait qu’en France et partout en Europe et en Amérique, les jeunes regardent la télé tout en étant connectés sur les réseaux sociaux. Et quand quelque chose d’intéressent (comme un salon) passe, ils s’empressent de le publier. En quelques minutes, des milliers de commentaires ou de retweets…

Profiter des polémiques sur les annonces publicitaires sur les réseaux sociaux

Prenons le cas d’un community manager facebook, il sait qu’au mieux (pour Facebook bien sûr) les utilisateurs jugent que les annonces publicitaires sont envahissantes et qu’au pire, on assiste à un vieillissement des utilisateurs, les plus jeunes étant agacés par l’exploitation de leurs données personnes, entre autres.

Sauf que Facebook n’est pas le seul média social confronté à ce genre de polémique. Twitter et Google lui-même sont dans le viseur des organisations qui défendent les libertés civiques. Ce n’est donc pas dans un tel contexte qu’on va enfoncer le clou dans la plaie en bardant ses discussions de pubs déguisées ou en postant une myriade de liens externes sur les CGU…

Le community manager freelance, ou en interne, peut se ranger du côté des « gentils » et discuter librement avec les membres de la communauté qu’il gère ou dont il est membre. Il ne doit pas focaliser exclusivement ses commentaires sur son domaine (comme la cosmétique)… Qu’on le lui demande ou pas, il doit aussi réagir à d’autres sujets d’actualité, lancer des débats diversifiés… Bref, son comportement doit être naturel parce qu’il est censé être un « ami » des autres membres.

                                                                                                             Article Wibixi.